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Éditeur Editions Amsterdam
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Titre : Bâtonner : comment l'argent détruit le journalisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Sophie Eustache (19..-....), Auteur Editeur : Paris : Editions Amsterdam Année de publication : 2020 Collection : L'ordinaire du capital, ISSN 2649-0242 Importance : 1 vol. (115 p.) Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35480-207-3 Prix : 10 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : Journalisme France Journalistes France Index. décimale : 070 Media, journalisme, édition Résumé : La 4ème de couverture indique : "Bâtonner, c'est copier-coller une dépêche en la remaniant à la marge. Symptôme ordinaire d'une dépossession des travailleurs, le bâtonnage illustre ce que l'argent fait au journalisme : la concurrence s'intensifie, la production de contenus s'accélère, l'information en vient à être usinée en série. Et tandis que les éditorialistes pontifient, les petites mains de la profession, de plus en plus précaires, perdent le sens de leur métier. La fusion du néolibéralisme et du numérique détériore la nature de leur travail et les conditions de son exercice. Dès lors, pourquoi les journalistes continuent-ils à consentir à ce qu'ils font ? Fruit d'une longue enquête, ce livre décrit les ressorts de l'aliénation d'une profession déqualifiée et disqualifiée, qui certes proteste mais continue de se croire indispensable à la vertu publique. Toujours plus prompte à « décoder » les fake news des autres, elle en oublie que le journalisme-marchandise n'est pas l'ami du peuple, mais un vice qui corrompt la pensée et, avec elle, la possibilité de la démocratie." Bâtonner : comment l'argent détruit le journalisme [texte imprimé] / Sophie Eustache (19..-....), Auteur . - Paris : Editions Amsterdam, 2020 . - 1 vol. (115 p.) ; 18 cm. - (L'ordinaire du capital, ISSN 2649-0242) .
ISBN : 978-2-35480-207-3 : 10 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Journalisme France Journalistes France Index. décimale : 070 Media, journalisme, édition Résumé : La 4ème de couverture indique : "Bâtonner, c'est copier-coller une dépêche en la remaniant à la marge. Symptôme ordinaire d'une dépossession des travailleurs, le bâtonnage illustre ce que l'argent fait au journalisme : la concurrence s'intensifie, la production de contenus s'accélère, l'information en vient à être usinée en série. Et tandis que les éditorialistes pontifient, les petites mains de la profession, de plus en plus précaires, perdent le sens de leur métier. La fusion du néolibéralisme et du numérique détériore la nature de leur travail et les conditions de son exercice. Dès lors, pourquoi les journalistes continuent-ils à consentir à ce qu'ils font ? Fruit d'une longue enquête, ce livre décrit les ressorts de l'aliénation d'une profession déqualifiée et disqualifiée, qui certes proteste mais continue de se croire indispensable à la vertu publique. Toujours plus prompte à « décoder » les fake news des autres, elle en oublie que le journalisme-marchandise n'est pas l'ami du peuple, mais un vice qui corrompt la pensée et, avec elle, la possibilité de la démocratie." Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 113535 070 SOP Livre Documentation indéterminé Disponible
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Titre : Exploiter les vivants : une écologie politique du travail Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul Guillibert (19..-....), Auteur Editeur : Paris : Editions Amsterdam Année de publication : 2023 Importance : 1 volume (201 pages) Présentation : illustrations, couverture illustrée Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35480-272-1 Prix : 13 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : Politique du travail Environnement Inégalité sociale Environnement Environnement Protection -- Participation des citoyens Écologie politique Travail Environnement Sociologie du travail Écologie Philosophie Politique Index. décimale : 304.2 Ecologie humaine : les activités sociales humaines et l'environnement. Pollution Résumé : Selon une ritournelle de la politique contemporaine, « l’écologie commence à la maison » : nous serions, en tant qu’individus, les sujets de la transition environnementale. Les pauvres, rétifs au changement, sont traités en barbares à civiliser ou en climato-négationnistes à combattre. A contrario, les citadins éduqués, éclairés et capables de changer de vie, apparaissent comme les seuls agents de la nécessaire transformation des modes de vie et de production. Le scénario de la rupture populaire avec l’écologie et le récit d’une écologie réservée aux riches se renforcent mutuellement. Pour sortir de ce cadre culpabilisant et stérile, Paul Guillibert traite du grand absent des pensées écologistes : le travail. Il affirme que, de la plantation coloniale au foyer familial, en passant par l’usine, l’écocide résulte de différentes formes d’exploitation du travail (salarié, servile, domestique). Exploitation des humains, certes, mais aussi mise au travail généralisée des vivants. Replacer la production capitaliste au cÅ“ur de la crise, c’est rendre possibles de nouvelles alliances entre travailleurs et écologistes, entre humains et autres qu’humains. Et une écologie vraiment émancipatrice. Exploiter les vivants : une écologie politique du travail [texte imprimé] / Paul Guillibert (19..-....), Auteur . - Paris : Editions Amsterdam, 2023 . - 1 volume (201 pages) : illustrations, couverture illustrée ; 18 cm.
ISBN : 978-2-35480-272-1 : 13 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Politique du travail Environnement Inégalité sociale Environnement Environnement Protection -- Participation des citoyens Écologie politique Travail Environnement Sociologie du travail Écologie Philosophie Politique Index. décimale : 304.2 Ecologie humaine : les activités sociales humaines et l'environnement. Pollution Résumé : Selon une ritournelle de la politique contemporaine, « l’écologie commence à la maison » : nous serions, en tant qu’individus, les sujets de la transition environnementale. Les pauvres, rétifs au changement, sont traités en barbares à civiliser ou en climato-négationnistes à combattre. A contrario, les citadins éduqués, éclairés et capables de changer de vie, apparaissent comme les seuls agents de la nécessaire transformation des modes de vie et de production. Le scénario de la rupture populaire avec l’écologie et le récit d’une écologie réservée aux riches se renforcent mutuellement. Pour sortir de ce cadre culpabilisant et stérile, Paul Guillibert traite du grand absent des pensées écologistes : le travail. Il affirme que, de la plantation coloniale au foyer familial, en passant par l’usine, l’écocide résulte de différentes formes d’exploitation du travail (salarié, servile, domestique). Exploitation des humains, certes, mais aussi mise au travail généralisée des vivants. Replacer la production capitaliste au cÅ“ur de la crise, c’est rendre possibles de nouvelles alliances entre travailleurs et écologistes, entre humains et autres qu’humains. Et une écologie vraiment émancipatrice. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 113759 304.2 PAU Livre Documentation indéterminé Disponible
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Titre : Le futur du travail Type de document : texte imprimé Auteurs : Juan Sebastián Carbonell (1988-....), Auteur Editeur : Paris : Editions Amsterdam Année de publication : C 2022 Importance : 1 vol. (173 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35480-243-1 Prix : 12 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : Travail Aspect politique Travail Société Sociologie du travail Travail précaire Index. décimale : 306.3 Comportement économique Résumé : Le travail est un inépuisable objet de fantasmes. On annonce sa disparition prochaine sous l'effet d'un "grand remplacement technologique", on prophétise la fin imminente du salariat, on rêve d'une existence définitivement débarrassée de cette servitude. Fait significatif, les futurologues consacrés et les apologistes du monde tel qu'il va n'ont absolument pas le monopole de ce discours, tout aussi bien tenu par les plus féroces critiques du capitalisme. A chaque révolution technologique ses mirages. Car il y a loin, très loin, de ces anticipations à la réalité. Le travail humain conserve en effet une place centrale dans nos sociétés. Simplement, ses frontières et le périmètre des populations qu'il concerne se déplacent : ce n'est donc pas à une précarisation généralisée que l'on assiste, mais à l'émergence d'un nouveau prolétariat du numérique et de la logistique, dans des économies bouleversées par l'essor des géants de la Big tech. Dans cet essai incisif, Juan Sebastián Carbonell montre que le discours sur la "crise du travail" fait obstacle à la compréhension de ses enjeux politiques. Et que sa mise en avant empêche, parfois à dessein, la nécessaire ouverture d'un débat sur les voies de son émancipation Le futur du travail [texte imprimé] / Juan Sebastián Carbonell (1988-....), Auteur . - Paris : Editions Amsterdam, C 2022 . - 1 vol. (173 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm.
ISBN : 978-2-35480-243-1 : 12 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Travail Aspect politique Travail Société Sociologie du travail Travail précaire Index. décimale : 306.3 Comportement économique Résumé : Le travail est un inépuisable objet de fantasmes. On annonce sa disparition prochaine sous l'effet d'un "grand remplacement technologique", on prophétise la fin imminente du salariat, on rêve d'une existence définitivement débarrassée de cette servitude. Fait significatif, les futurologues consacrés et les apologistes du monde tel qu'il va n'ont absolument pas le monopole de ce discours, tout aussi bien tenu par les plus féroces critiques du capitalisme. A chaque révolution technologique ses mirages. Car il y a loin, très loin, de ces anticipations à la réalité. Le travail humain conserve en effet une place centrale dans nos sociétés. Simplement, ses frontières et le périmètre des populations qu'il concerne se déplacent : ce n'est donc pas à une précarisation généralisée que l'on assiste, mais à l'émergence d'un nouveau prolétariat du numérique et de la logistique, dans des économies bouleversées par l'essor des géants de la Big tech. Dans cet essai incisif, Juan Sebastián Carbonell montre que le discours sur la "crise du travail" fait obstacle à la compréhension de ses enjeux politiques. Et que sa mise en avant empêche, parfois à dessein, la nécessaire ouverture d'un débat sur les voies de son émancipation Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 113641 306.36 JUA Livre Documentation indéterminé Disponible
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Titre : Identités et cultures : politiques des cultural studies Type de document : texte imprimé Auteurs : Stuart Hall (1932-2014), Auteur ; Maxime Cervulle (1983-....), Éditeur scientifique ; Christophe Jaquet (1964-....), Traducteur Mention d'édition : Nouvelle édition augmentée Editeur : Paris : Editions Amsterdam Année de publication : DL 2008 Importance : 1 vol. (411 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35480-030-7 Prix : 19 EUR Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Mots-clés : Cultural studies Ethnicité Multiculturalisme Index. décimale : 306 Culture et normes de comportement : anthropologie sociale et culturelle. Folklore, voir 390 Identités et cultures : politiques des cultural studies [texte imprimé] / Stuart Hall (1932-2014), Auteur ; Maxime Cervulle (1983-....), Éditeur scientifique ; Christophe Jaquet (1964-....), Traducteur . - Nouvelle édition augmentée . - Paris : Editions Amsterdam, DL 2008 . - 1 vol. (411 p.) : couv. ill. en coul. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-35480-030-7 : 19 EUR
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Mots-clés : Cultural studies Ethnicité Multiculturalisme Index. décimale : 306 Culture et normes de comportement : anthropologie sociale et culturelle. Folklore, voir 390 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 112625 306 STU Livre Documentation indéterminé Disponible
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Titre : La part commune : critique de la propriété privée Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Crétois (19..-....), Auteur Editeur : Paris : Editions Amsterdam Année de publication : 2020 Importance : 1 volume (207 p.) Présentation : couv. ill. Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35480-213-4 Prix : 16 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : Propriété Philosophie Philosophie économique Économie politique Philosophie Politique Index. décimale : 330 Economie Résumé : L’accaparement privatif des richesses porté par le libéralisme économique a creusé les inégalités et contribué à la crise environnementale. Cet ouvrage reprend le problème à la racine pour proposer une déconstruction de l’absolutisme propriétaire. Pierre Crétois retrace et critique toute la tradition qui, depuis la Renaissance, a fait de la propriété privée l’élément fondateur de nos sociétés en l’érigeant comme le droit naturel le plus crucial. Cette vision est si hégémonique qu’elle semble relever de l’évidence. Mais elle méconnaît le fait qu’il n’a jamais existé de propriété absolument privée. Les choses, loin d’être appropriables en tant que telles, sont des lieux où se rencontrent des existences et des activités individuelles et collectives. Le propriétaire en son domaine n’est qu’un membre de la communauté et de l’écosystème dont il dépend. Dans un geste démystificateur, Pierre Crétois montre qu’il y a toujours une part commune dans ce qui est propre à chacun. Au cœur de la politique se niche la propriété : mieux, sa transformation est la condition de l’émancipation humaine. La part commune : critique de la propriété privée [texte imprimé] / Pierre Crétois (19..-....), Auteur . - Paris : Editions Amsterdam, 2020 . - 1 volume (207 p.) : couv. ill. ; 20 cm.
ISBN : 978-2-35480-213-4 : 16 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Propriété Philosophie Philosophie économique Économie politique Philosophie Politique Index. décimale : 330 Economie Résumé : L’accaparement privatif des richesses porté par le libéralisme économique a creusé les inégalités et contribué à la crise environnementale. Cet ouvrage reprend le problème à la racine pour proposer une déconstruction de l’absolutisme propriétaire. Pierre Crétois retrace et critique toute la tradition qui, depuis la Renaissance, a fait de la propriété privée l’élément fondateur de nos sociétés en l’érigeant comme le droit naturel le plus crucial. Cette vision est si hégémonique qu’elle semble relever de l’évidence. Mais elle méconnaît le fait qu’il n’a jamais existé de propriété absolument privée. Les choses, loin d’être appropriables en tant que telles, sont des lieux où se rencontrent des existences et des activités individuelles et collectives. Le propriétaire en son domaine n’est qu’un membre de la communauté et de l’écosystème dont il dépend. Dans un geste démystificateur, Pierre Crétois montre qu’il y a toujours une part commune dans ce qui est propre à chacun. Au cœur de la politique se niche la propriété : mieux, sa transformation est la condition de l’émancipation humaine. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 113564 330 PIE Livre Documentation indéterminé Disponible
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