Des services pour PMB
Éditeur Éditions les Liens qui libèrent
|
localisé à :
[Paris]
|
Documents disponibles chez cet éditeur (5)
Affiner la recherche Interroger des sources externes
Titre : Comme on nous parle : l'emprise de la novlangue sur nos sociétés Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Paul Fitoussi (1942-2022), Auteur Editeur : [Paris] : Éditions les Liens qui libèrent Année de publication : DL 2020 Importance : 1 vol. (189 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-209-0868-1 Prix : 17,50 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : Langue de bois Communication en politique Résumé : "La façon dont on nous parle des problèmes économiques, sociaux et même politiques nous laisse peu de chances de comprendre ce que l'on veut nous dire. Et encore moins les phénomènes qui nous blessent. L'invention d'une néo-novlangue est passée par là . Pourquoi nous répète-t-on à l'infini que le chômage est inadmissible pour finir par le laisser persister ? Pourquoi dit-on que le travail est notre avenir alors qu'on se garde, depuis longtemps, de le valoriser ? Pourquoi a-t-on, du moins en Europe, renoncé à utiliser tous les instruments de la politique économique pour se cantonner aux politiques dites structurelles, dont on finit par comprendre que leur objectif est de réduire la protection sociale ? Pourquoi accepte-t-on de voir croître démesurément les inégalités alors que l'on dit vouloir les combattre ? La langue que nous utilisons, à force d'être contournée, a transformé la réalité à laquelle nous sommes confrontés, jusqu'au déni de la souffrance. Elle est davantage manipulée par la doctrine qu'elle ne s'en sert. Il faut, si l'on veut revenir à une vision moins irénique, ou fataliste, du monde, déconstruire la novlangue pour reconstruire un langage dans lequel chacun se reconnaisse. Ce n'est qu'à cette condition que l'on pourra vraiment agir sur le monde et sur le destin des populations. Ce n'est qu'à cette condition que l'on pourra déjouer le piège politique que nous tend la novlangue et retrouver le chemin d'une démocratie moins fragile que celle qui nous enjoint à la résignation." Comme on nous parle : l'emprise de la novlangue sur nos sociétés [texte imprimé] / Jean-Paul Fitoussi (1942-2022), Auteur . - [Paris] : Éditions les Liens qui libèrent, DL 2020 . - 1 vol. (189 p.) ; 22 cm.
ISBN : 979-10-209-0868-1 : 17,50 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Langue de bois Communication en politique Résumé : "La façon dont on nous parle des problèmes économiques, sociaux et même politiques nous laisse peu de chances de comprendre ce que l'on veut nous dire. Et encore moins les phénomènes qui nous blessent. L'invention d'une néo-novlangue est passée par là . Pourquoi nous répète-t-on à l'infini que le chômage est inadmissible pour finir par le laisser persister ? Pourquoi dit-on que le travail est notre avenir alors qu'on se garde, depuis longtemps, de le valoriser ? Pourquoi a-t-on, du moins en Europe, renoncé à utiliser tous les instruments de la politique économique pour se cantonner aux politiques dites structurelles, dont on finit par comprendre que leur objectif est de réduire la protection sociale ? Pourquoi accepte-t-on de voir croître démesurément les inégalités alors que l'on dit vouloir les combattre ? La langue que nous utilisons, à force d'être contournée, a transformé la réalité à laquelle nous sommes confrontés, jusqu'au déni de la souffrance. Elle est davantage manipulée par la doctrine qu'elle ne s'en sert. Il faut, si l'on veut revenir à une vision moins irénique, ou fataliste, du monde, déconstruire la novlangue pour reconstruire un langage dans lequel chacun se reconnaisse. Ce n'est qu'à cette condition que l'on pourra vraiment agir sur le monde et sur le destin des populations. Ce n'est qu'à cette condition que l'on pourra déjouer le piège politique que nous tend la novlangue et retrouver le chemin d'une démocratie moins fragile que celle qui nous enjoint à la résignation." Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 113516 320.014 JEA Livre Documentation indéterminé Disponible
Disponible
Titre : La fabrique des imposteurs Type de document : texte imprimé Auteurs : Roland Gori (1943-....), Auteur Editeur : [Paris] : Éditions les Liens qui libèrent Année de publication : DL 2013 Importance : 1 vol. (313 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-209-0029-6 Prix : 21,50 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : Liberté Légitimité (science politique) Imposteurs et impostures Individu et société Normes sociales Aliénation sociale Évaluation Index. décimale : 306 Culture et normes de comportement : anthropologie sociale et culturelle. Folklore, voir 390 Résumé : Au moment de sa déclaration de candidat à l'investiture à l'élection présidentielle, François Hollande s'est présenté sous la bannière de la "normalité" pour renouveler la démocratie en France. Mais une démocratie ou une société doit-elle être normale ? L'ouvrage analyse les relations ambiguës et paradoxales que la démocratie entretient avec la norme et les processus de normalisation sociale et culturelle pour comprendre l'incroyable état de résignation du politique aujourd'hui. Résignation dont l'illustration la plus éloquente est la confiscation de la pensée critique au moyen des procédures de l'évaluation et l'emprise de la "religion du marché" au coeur de nos sociétés ? et qui, en prédisposant à la dépression, fait le lit d'une société totalitaire. Par l'un de nos psychanalystes les plus importants, initiateur du fameux Appel des Appels et auteur de nombreux livres, un essai qui nous exhorte à prendre conscience du nouveau malaise de notre civilisation pour mieux le dépasser. La fabrique des imposteurs [texte imprimé] / Roland Gori (1943-....), Auteur . - [Paris] : Éditions les Liens qui libèrent, DL 2013 . - 1 vol. (313 p.) ; 22 cm.
ISBN : 979-10-209-0029-6 : 21,50 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Liberté Légitimité (science politique) Imposteurs et impostures Individu et société Normes sociales Aliénation sociale Évaluation Index. décimale : 306 Culture et normes de comportement : anthropologie sociale et culturelle. Folklore, voir 390 Résumé : Au moment de sa déclaration de candidat à l'investiture à l'élection présidentielle, François Hollande s'est présenté sous la bannière de la "normalité" pour renouveler la démocratie en France. Mais une démocratie ou une société doit-elle être normale ? L'ouvrage analyse les relations ambiguës et paradoxales que la démocratie entretient avec la norme et les processus de normalisation sociale et culturelle pour comprendre l'incroyable état de résignation du politique aujourd'hui. Résignation dont l'illustration la plus éloquente est la confiscation de la pensée critique au moyen des procédures de l'évaluation et l'emprise de la "religion du marché" au coeur de nos sociétés ? et qui, en prédisposant à la dépression, fait le lit d'une société totalitaire. Par l'un de nos psychanalystes les plus importants, initiateur du fameux Appel des Appels et auteur de nombreux livres, un essai qui nous exhorte à prendre conscience du nouveau malaise de notre civilisation pour mieux le dépasser. Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 113043 306 ROL Livre Documentation indéterminé Disponible
Disponible
Titre : La fabrique de nos servitudes Type de document : texte imprimé Auteurs : Roland Gori (1943-....), Auteur Editeur : [Paris] : Éditions les Liens qui libèrent Année de publication : DL 2022 Importance : 1 vol. (299 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-209-1089-9 Prix : 21 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : Contrôle social Technologies de l'information et de la communication Utopies Index. décimale : 303.3 Coordination et contrôle Résumé : Dans nos sociétés de contrôle, l'information est le moyen privilégié de surveiller, de normaliser et de donner des ordres. Les informations, molécules de la vie sociale, deviennent les sujets de l'existence, les véritables cibles des pouvoirs politiques et économiques. Avec le langage numérique, les subjectivités se trouvent enserrées dans un filet de normes de plus en plus denses et contraignantes. Les idéologies scientifiques viennent souvent légitimer ce « naturalisme économique » transformant le citoyen en sujet neuro-économique et son éducation en fuselage de ses compétences en vue des compétitions à venir. Les fabriques de servitude mettent en esclavage les individus et les populations au nom de l'efficacité technique, de l'illusion d'un bonheur procuré par les algorithmes et la mondialisation marchande. Pour en sortir, il nous faut modifier nos habitus et nos habitudes, restaurer la force révolutionnaire du langage et de la métaphore, rétablir le pouvoir des fictions. Les ordres existants ont toujours haï les utopies, la puissance de leur imagination et de leurs expériences de pensée. L'utopie ne se réduit pas à un genre littéraire, à une rêverie politique d'un futur improbable, elle constitue une position éthique et politique, un style, un foyer de liberté. Dans l'histoire des esclavages et des luttes sociales, les « marronnages », par la danse, le chant, le récit et le conte, ont été des voies d'émancipation. Résister aux fabriques de nos servitudes par l'utopie est une nouvelle manière d'agir et de penser l'infini, le complexe, l'instable, le multiple, le divers que le vivant exige. Il y a urgence à détourner l'utile pour en faire du Beau, emmêler le vivant au Vrai et faire chuter sa majuscule pour que nos vies ne soient pas minuscules. La fabrique de nos servitudes [texte imprimé] / Roland Gori (1943-....), Auteur . - [Paris] : Éditions les Liens qui libèrent, DL 2022 . - 1 vol. (299 p.) ; 22 cm.
ISBN : 979-10-209-1089-9 : 21 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Contrôle social Technologies de l'information et de la communication Utopies Index. décimale : 303.3 Coordination et contrôle Résumé : Dans nos sociétés de contrôle, l'information est le moyen privilégié de surveiller, de normaliser et de donner des ordres. Les informations, molécules de la vie sociale, deviennent les sujets de l'existence, les véritables cibles des pouvoirs politiques et économiques. Avec le langage numérique, les subjectivités se trouvent enserrées dans un filet de normes de plus en plus denses et contraignantes. Les idéologies scientifiques viennent souvent légitimer ce « naturalisme économique » transformant le citoyen en sujet neuro-économique et son éducation en fuselage de ses compétences en vue des compétitions à venir. Les fabriques de servitude mettent en esclavage les individus et les populations au nom de l'efficacité technique, de l'illusion d'un bonheur procuré par les algorithmes et la mondialisation marchande. Pour en sortir, il nous faut modifier nos habitus et nos habitudes, restaurer la force révolutionnaire du langage et de la métaphore, rétablir le pouvoir des fictions. Les ordres existants ont toujours haï les utopies, la puissance de leur imagination et de leurs expériences de pensée. L'utopie ne se réduit pas à un genre littéraire, à une rêverie politique d'un futur improbable, elle constitue une position éthique et politique, un style, un foyer de liberté. Dans l'histoire des esclavages et des luttes sociales, les « marronnages », par la danse, le chant, le récit et le conte, ont été des voies d'émancipation. Résister aux fabriques de nos servitudes par l'utopie est une nouvelle manière d'agir et de penser l'infini, le complexe, l'instable, le multiple, le divers que le vivant exige. Il y a urgence à détourner l'utile pour en faire du Beau, emmêler le vivant au Vrai et faire chuter sa majuscule pour que nos vies ne soient pas minuscules. Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 113627 303.33 ROL Livre Documentation indéterminé Disponible
Disponible
Titre : La nouvelle société de la connaissance : une vision nouvelle de la croissance, du développement et du progrès social Type de document : texte imprimé Auteurs : Joseph Eugene Stiglitz (1943-....), Auteur ; Bruce Corman Norbert Greenwald (1946-....), Auteur ; Françoise Chemla (19..-....), Traducteur ; Paul Chemla (1944-....), Traducteur Editeur : [Paris] : Éditions les Liens qui libèrent Année de publication : DL 2017 Importance : 1 vol. (443 p.) Présentation : couv.ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-209-0522-2 Prix : 27 EUR Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Mots-clés : Société numérique Aspect économique Rapport au savoir Apprentissage social Développement humain Social learning Index. décimale : 338.9 Développement et croissance économiques : classer ici les politiques gouvernementales et programmes économiques. Autarcie Résumé : La 4e de couv. indique : "L'amélioration du niveau de vie découle d'abord de la création de sociétés capables d'apprendre - ce qui permet les progrès techniques -, et non de l'accumulation de capital. Ce qui sépare vraiment les pays développés des pays moins développés n'est donc pas seulement la capacité de production, mais aussi et surtout une différence de l'état des connaissances. Dans cet ouvrage, Joseph E. Stiglitz et Bruce C. Greenwald mettent en lumière cette idée dans les domaines économique et politique. Ils prennent comme point de départ un article de Kenneth J. Arrow, « Apprendre en faisant », pour expliquer pourquoi la production de connaissances diffère de celle des autres productions et pourquoi les économies de marché à elles seules ne peuvent généralement pas produire et transmettre les connaissances efficacement. Les deux éminents économistes proposent de nouveaux modèles de « croissance endogène ». Ils montrent comment des modes de gouvernance bien conçus peuvent mettre en oeuvre une « nouvelle société de la connaissance » et comment, a contrario, des régimes de propriété intellectuelle bancals peuvent retarder l'apprentissage. Ils expliquent également comment presque toutes les politiques gouvernementales ont des effets, tant positifs que négatifs, sur l'état des savoirs. C'est un aspect que les décideurs politiques doivent appréhender et intégrer. Ils démontrent enfin pourquoi beaucoup de politiques qui suivent les doctrines « néolibérales » ont entravé l'apprentissage. Le libre-échange peut favoriser une certaine stagnation du savoir alors que les politiques interventionnistes peuvent apporter des avantages, non seulement au secteur industriel, mais à l'ensemble de l'économie." La nouvelle société de la connaissance : une vision nouvelle de la croissance, du développement et du progrès social [texte imprimé] / Joseph Eugene Stiglitz (1943-....), Auteur ; Bruce Corman Norbert Greenwald (1946-....), Auteur ; Françoise Chemla (19..-....), Traducteur ; Paul Chemla (1944-....), Traducteur . - [Paris] : Éditions les Liens qui libèrent, DL 2017 . - 1 vol. (443 p.) : couv.ill. en coul. ; 24 cm.
ISBN : 979-10-209-0522-2 : 27 EUR
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Mots-clés : Société numérique Aspect économique Rapport au savoir Apprentissage social Développement humain Social learning Index. décimale : 338.9 Développement et croissance économiques : classer ici les politiques gouvernementales et programmes économiques. Autarcie Résumé : La 4e de couv. indique : "L'amélioration du niveau de vie découle d'abord de la création de sociétés capables d'apprendre - ce qui permet les progrès techniques -, et non de l'accumulation de capital. Ce qui sépare vraiment les pays développés des pays moins développés n'est donc pas seulement la capacité de production, mais aussi et surtout une différence de l'état des connaissances. Dans cet ouvrage, Joseph E. Stiglitz et Bruce C. Greenwald mettent en lumière cette idée dans les domaines économique et politique. Ils prennent comme point de départ un article de Kenneth J. Arrow, « Apprendre en faisant », pour expliquer pourquoi la production de connaissances diffère de celle des autres productions et pourquoi les économies de marché à elles seules ne peuvent généralement pas produire et transmettre les connaissances efficacement. Les deux éminents économistes proposent de nouveaux modèles de « croissance endogène ». Ils montrent comment des modes de gouvernance bien conçus peuvent mettre en oeuvre une « nouvelle société de la connaissance » et comment, a contrario, des régimes de propriété intellectuelle bancals peuvent retarder l'apprentissage. Ils expliquent également comment presque toutes les politiques gouvernementales ont des effets, tant positifs que négatifs, sur l'état des savoirs. C'est un aspect que les décideurs politiques doivent appréhender et intégrer. Ils démontrent enfin pourquoi beaucoup de politiques qui suivent les doctrines « néolibérales » ont entravé l'apprentissage. Le libre-échange peut favoriser une certaine stagnation du savoir alors que les politiques interventionnistes peuvent apporter des avantages, non seulement au secteur industriel, mais à l'ensemble de l'économie." Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 113368 338.9 JOS Livre Documentation indéterminé Disponible
Disponible
Titre : Et si la santé guidait le monde ? : l'espérance de vie vaut mieux que la croissance Type de document : texte imprimé Auteurs : Éloi Laurent (1974-....), Auteur Editeur : [Paris] : Éditions les Liens qui libèrent Année de publication : DL 2020 Importance : 1 volume (182 p.) Présentation : tabl., fig. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-209-0927-5 Prix : 15,50 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : Économie de la santé Écologie politique Politique de santé Espérance de vie Santé Économie hospitalière Index. décimale : 333.7 Ressources naturelles et énergie : classer ici les ouvrages généraux sur l'environnement Résumé : La moitié des gouvernements de la planète ont fait le choix de placer la santé de leur population avant la croissance de leur économie, faute d’avoir pris soin de la vitalité de leurs écosystèmes. La leçon est implacable : détruire la Nature est un suicide social et, accessoirement, une folie économique au-dessus de nos moyens. Éloi Laurent soutient que l’espérance de vie et la pleine santé doivent devenir nos boussoles communes dans ce nouveau siècle, permettant de nous orienter les yeux grands ouverts dans un monde où bien-être humain et vitalité des écosystèmes sont irrémédiablement entrelacés et projetés ensemble à toute allure dans une spirale de plus en plus vicieuse qu’il nous faut à tout prix inverser. Être prospère aujourd’hui, c’est se donner les moyens de garantir la poursuite de l’aventure humaine dans vingt ou trente ans. Être prospère, c’est donc d’abord être en bonne santé. En se laissant guider par une pleine santé accordant toute leur place aux écosystèmes qui nous font vivre, il devient possible de réorienter nos systèmes économiques pour donner un sens partagé à la transition écologique : une transition aussi bien individuelle que collective, personnelle que relationnelle, biologique qu’écologique. Une transition instinctive, sensuelle et viscérale. Par ce sens retrouvé, aux antipodes d’indicateurs économiques qui ne disent plus rien à personne, la pleine santé a le pouvoir d’apaiser, de guérir, de réparer Et si la santé guidait le monde ? : l'espérance de vie vaut mieux que la croissance [texte imprimé] / Éloi Laurent (1974-....), Auteur . - [Paris] : Éditions les Liens qui libèrent, DL 2020 . - 1 volume (182 p.) : tabl., fig. ; 19 cm.
ISBN : 979-10-209-0927-5 : 15,50 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Économie de la santé Écologie politique Politique de santé Espérance de vie Santé Économie hospitalière Index. décimale : 333.7 Ressources naturelles et énergie : classer ici les ouvrages généraux sur l'environnement Résumé : La moitié des gouvernements de la planète ont fait le choix de placer la santé de leur population avant la croissance de leur économie, faute d’avoir pris soin de la vitalité de leurs écosystèmes. La leçon est implacable : détruire la Nature est un suicide social et, accessoirement, une folie économique au-dessus de nos moyens. Éloi Laurent soutient que l’espérance de vie et la pleine santé doivent devenir nos boussoles communes dans ce nouveau siècle, permettant de nous orienter les yeux grands ouverts dans un monde où bien-être humain et vitalité des écosystèmes sont irrémédiablement entrelacés et projetés ensemble à toute allure dans une spirale de plus en plus vicieuse qu’il nous faut à tout prix inverser. Être prospère aujourd’hui, c’est se donner les moyens de garantir la poursuite de l’aventure humaine dans vingt ou trente ans. Être prospère, c’est donc d’abord être en bonne santé. En se laissant guider par une pleine santé accordant toute leur place aux écosystèmes qui nous font vivre, il devient possible de réorienter nos systèmes économiques pour donner un sens partagé à la transition écologique : une transition aussi bien individuelle que collective, personnelle que relationnelle, biologique qu’écologique. Une transition instinctive, sensuelle et viscérale. Par ce sens retrouvé, aux antipodes d’indicateurs économiques qui ne disent plus rien à personne, la pleine santé a le pouvoir d’apaiser, de guérir, de réparer Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 113554 333.7 ELO Livre Documentation indéterminé Disponible
Disponible



