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Indexation 123.5 : Liberté
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Titre : Du consentement ; suivi d'un épilogue inédit Et le refus de consentir ? : essai Type de document : texte imprimé Auteurs : Geneviève Fraisse (1948-....), Auteur Mention d'édition : [Édition augmentée] Editeur : [Paris] : Éditions du Seuil Année de publication : DL 2017 Importance : 1 volume (149 p.) Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-137843-6 Prix : 16 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : Libre arbitre Égalité des sexes Choix moral Consentement (droit) Autonomie (psychologie) Psychologie Index. décimale : 123.5 Liberté Résumé : « J’ai longtemps pensé que l’acte de consentir relevait de l’intimité la plus grande, mélange de désir et de volonté dont la vérité gisait dans un moi profond. Lorsque j’ai entendu ce mot consentement dans des enceintes politiques, Parlement européen, débats télévisuels, discussions associatives, j’ai compris qu’il pénétrait l’espace public comme un argument de poids. Je voyais bien que la raison du consentement, utilisée pour défendre le port du foulard, ou exercer le métier de prostituée, s’entourait de principes politiques avérés, la liberté, la liberté de choisir, la liberté offerte par notre droit ; et la résistance, la capacité de dire non à un ordre injuste. Car dire « oui », c’est aussi pouvoir dire « non », l’âpreté de l’établissement d’un viol nous le rappelle méchamment. J’ai beaucoup cherché, des années durant, à identifier les lieux de l’autonomie des femmes contemporaines. Ce travail sur le consentement m’entraîne, désormais, dans la pensée du lien, du mouvement de l’un vers l’autre des êtres, de chacun des êtres que nous sommes. Par là commence, ainsi, la construction d’un monde. » Du consentement ; suivi d'un épilogue inédit Et le refus de consentir ? : essai [texte imprimé] / Geneviève Fraisse (1948-....), Auteur . - [Édition augmentée] . - [Paris] : Éditions du Seuil, DL 2017 . - 1 volume (149 p.) ; 19 cm.
ISBN : 978-2-02-137843-6 : 16 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Libre arbitre Égalité des sexes Choix moral Consentement (droit) Autonomie (psychologie) Psychologie Index. décimale : 123.5 Liberté Résumé : « J’ai longtemps pensé que l’acte de consentir relevait de l’intimité la plus grande, mélange de désir et de volonté dont la vérité gisait dans un moi profond. Lorsque j’ai entendu ce mot consentement dans des enceintes politiques, Parlement européen, débats télévisuels, discussions associatives, j’ai compris qu’il pénétrait l’espace public comme un argument de poids. Je voyais bien que la raison du consentement, utilisée pour défendre le port du foulard, ou exercer le métier de prostituée, s’entourait de principes politiques avérés, la liberté, la liberté de choisir, la liberté offerte par notre droit ; et la résistance, la capacité de dire non à un ordre injuste. Car dire « oui », c’est aussi pouvoir dire « non », l’âpreté de l’établissement d’un viol nous le rappelle méchamment. J’ai beaucoup cherché, des années durant, à identifier les lieux de l’autonomie des femmes contemporaines. Ce travail sur le consentement m’entraîne, désormais, dans la pensée du lien, du mouvement de l’un vers l’autre des êtres, de chacun des êtres que nous sommes. Par là commence, ainsi, la construction d’un monde. » Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 110635 123.5 GEN Livre Bibliothèque Manoir indéterminé Exclu du prêt
Titre : L'État nous rend-il meilleurs ? : essai sur la liberté politique Type de document : texte imprimé Auteurs : Ruwen Ogien (1949-2017), Auteur Editeur : [Paris] : Gallimard Année de publication : DL 2013 Collection : Folio Sous-collection : Essais num. 578 Importance : 1 vol. (332 p.) Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-045191-3 Prix : 9,30 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : Liberté Morale sociale Droits de l'homme Morale politique Justice sociale État Philosophie Index. décimale : 123.5 Liberté Résumé : La 4e de couverture indique : "Comment conjuguer la justice sociale et les libertés individuelles ? La pensée conservatrice et sa vision moraliste des urgences politiques triomphent désormais sans complexe dans tous les camps politiques et dans l'action de l'Etat, quelle que soit la couleur des gouvernements. Le problème principal de nos sociétés ne serait pas d'améliorer la condition économique des plus défavorisés, de mieux protéger les droits et les libertés de chacun, de réduire les inégalités de richesse et de pouvoir. Non. Ce qui préoccupe la pensée conservatrice, c'est l'effondrement d'un certain ordre moral fondé sur le goût de l'effort, le sens de la hiérarchie, le respect de la discipline, le contrôle des désirs, la fidélité aux traditions, l'identification à la communauté nationale et la valorisation de la famille "naturelle" et hétérosexuelle. Philosophe, Ruwen Ogien montre que nous avons des raisons philosophiques de résister à cette pensée et de lui préférer des idéaux politiques égalitaire et libertaire. Car ces idéaux sont plus en harmonie avec la conception de la liberté politique qui paraît la plus juste - ce qu'on appelle en philosophie la liberté négative. D'après elle, être libre n'est rien d'autre et rien de plus que le fait de ne pas être soumis à la volonté d'autrui" L'État nous rend-il meilleurs ? : essai sur la liberté politique [texte imprimé] / Ruwen Ogien (1949-2017), Auteur . - [Paris] : Gallimard, DL 2013 . - 1 vol. (332 p.) ; 18 cm. - (Folio. Essais; 578) .
ISBN : 978-2-07-045191-3 : 9,30 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Liberté Morale sociale Droits de l'homme Morale politique Justice sociale État Philosophie Index. décimale : 123.5 Liberté Résumé : La 4e de couverture indique : "Comment conjuguer la justice sociale et les libertés individuelles ? La pensée conservatrice et sa vision moraliste des urgences politiques triomphent désormais sans complexe dans tous les camps politiques et dans l'action de l'Etat, quelle que soit la couleur des gouvernements. Le problème principal de nos sociétés ne serait pas d'améliorer la condition économique des plus défavorisés, de mieux protéger les droits et les libertés de chacun, de réduire les inégalités de richesse et de pouvoir. Non. Ce qui préoccupe la pensée conservatrice, c'est l'effondrement d'un certain ordre moral fondé sur le goût de l'effort, le sens de la hiérarchie, le respect de la discipline, le contrôle des désirs, la fidélité aux traditions, l'identification à la communauté nationale et la valorisation de la famille "naturelle" et hétérosexuelle. Philosophe, Ruwen Ogien montre que nous avons des raisons philosophiques de résister à cette pensée et de lui préférer des idéaux politiques égalitaire et libertaire. Car ces idéaux sont plus en harmonie avec la conception de la liberté politique qui paraît la plus juste - ce qu'on appelle en philosophie la liberté négative. D'après elle, être libre n'est rien d'autre et rien de plus que le fait de ne pas être soumis à la volonté d'autrui" Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 113114 123.5 RUW Livre Documentation indéterminé Disponible
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123 Déterminisme et indéterminisme

