| Titre : |
Dans la tête d'Andrew : roman |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Edgar Lawrence Doctorow (1931-2015), Auteur ; Anne Rabinovitch (1945-....), Traducteur |
| Editeur : |
[Arles] : Actes Sud |
| Année de publication : |
DL 2016, cop. 2016 |
| Collection : |
Lettres anglo-américaines, ISSN 1158-6737 |
| Importance : |
1 vol. (190 p.) |
| Présentation : |
couv. ill. en coul. |
| Format : |
22 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-330-06910-0 |
| Prix : |
21 EUR |
| Langues : |
Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) |
| Résumé : |
Dans ce qu'on imagine être le cabinet d'un psychanalyste, un homme évoque l'un de ses amis, un chercheur en sciences cognitives répondant au prénom d'Andrew, qui n'est autre que... lui-même. Victime d'un délitement mental peut-être lié aux recherches requises par sa discipline, Andrew s'est convaincu que le cerveau n'était qu'une machine à mentir et à feindre qui fait de lui un prisonnier à vie. Imperméable à la culpabilité, au chagrin comme au bonheur, il est persuadé que chacun de ses actes nuit aux êtres qu'il aime, qu'un désastre va se produire quoi qu'il fasse, alors que lui-même sort indemne de toutes les épreuves de la vie. Tandis que l'étrange narrateur se confesse, le lecteur s'interroge : ledit Andrew a-t-il bien, lorsqu'il était enfant, provoqué un accident de voiture ? A-t-il, de fait, empoisonné par mégarde son propre bébé ? Une femme a-t-elle vraiment disparu à cause de lui un certain 9 septembre ? A-t-il pour de bon bu des cocktails avec des nains ? Et est-il exact que le président ait été son camarade de chambre pendant ses études à Yale ? (4e de couv.) |
Dans la tête d'Andrew : roman [texte imprimé] / Edgar Lawrence Doctorow (1931-2015), Auteur ; Anne Rabinovitch (1945-....), Traducteur . - [Arles] : Actes Sud, DL 2016, cop. 2016 . - 1 vol. (190 p.) : couv. ill. en coul. ; 22 cm. - ( Lettres anglo-américaines, ISSN 1158-6737) . ISBN : 978-2-330-06910-0 : 21 EUR Langues : Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng)
| Résumé : |
Dans ce qu'on imagine être le cabinet d'un psychanalyste, un homme évoque l'un de ses amis, un chercheur en sciences cognitives répondant au prénom d'Andrew, qui n'est autre que... lui-même. Victime d'un délitement mental peut-être lié aux recherches requises par sa discipline, Andrew s'est convaincu que le cerveau n'était qu'une machine à mentir et à feindre qui fait de lui un prisonnier à vie. Imperméable à la culpabilité, au chagrin comme au bonheur, il est persuadé que chacun de ses actes nuit aux êtres qu'il aime, qu'un désastre va se produire quoi qu'il fasse, alors que lui-même sort indemne de toutes les épreuves de la vie. Tandis que l'étrange narrateur se confesse, le lecteur s'interroge : ledit Andrew a-t-il bien, lorsqu'il était enfant, provoqué un accident de voiture ? A-t-il, de fait, empoisonné par mégarde son propre bébé ? Une femme a-t-elle vraiment disparu à cause de lui un certain 9 septembre ? A-t-il pour de bon bu des cocktails avec des nains ? Et est-il exact que le président ait été son camarade de chambre pendant ses études à Yale ? (4e de couv.) |
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