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Auteur Marc Ferro (1924-2021)
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historien
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Titre : L'entrée dans la vie : amour, travail, famille, révolte ; ce qui change un destin Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc Ferro (1924-2021), Auteur Editeur : Paris : Tallandier Année de publication : DL 2020 Autre Editeur : 14-Condé-en-Normandie : Corlet impr. Collection : Essais Importance : 1 vol. (250 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-210-3861-5 Prix : 17,90 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : Célébrités Individu et histoire Autonomisation Histoire universelle Index. décimale : 920.0 Résumé : En fouillant dans ses souvenirs personnels et en brossant le portrait d'hommes et de femmes célèbres, de C. Chaplin à Gandhi en passant par M. Curie et Saint-Just, l'historien montre comment les données familiales, religieuses, économiques ainsi que les événements peuvent faire naître non seulement des destins individuels mais aussi des mouvements collectifs. [Electre 2020] L'entrée dans la vie : amour, travail, famille, révolte ; ce qui change un destin [texte imprimé] / Marc Ferro (1924-2021), Auteur . - Paris : Tallandier : 14-Condé-en-Normandie : Corlet impr., DL 2020 . - 1 vol. (250 p.) ; 21 cm. - (Essais) .
ISBN : 979-10-210-3861-5 : 17,90 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Célébrités Individu et histoire Autonomisation Histoire universelle Index. décimale : 920.0 Résumé : En fouillant dans ses souvenirs personnels et en brossant le portrait d'hommes et de femmes célèbres, de C. Chaplin à Gandhi en passant par M. Curie et Saint-Just, l'historien montre comment les données familiales, religieuses, économiques ainsi que les événements peuvent faire naître non seulement des destins individuels mais aussi des mouvements collectifs. [Electre 2020] Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 110811 920.009 MAR Livre Bibliothèque Manoir indéterminé Exclu du prêt
Titre : Le livre noir du colonialisme : XVIe-XXIe siècle ; de l'extermination à la repentance Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc Ferro (1924-2021), Directeur de publication Editeur : Paris : Robert Laffont Année de publication : DL 2003 Importance : 1 vol. (843 p.) Présentation : carte, tabl. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-221-09254-5 Prix : 29 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : Esclavage Histoire Décolonisation Histoire Colonies Histoire Impérialisme Histoire Colonies françaises Histoire Index. décimale : 325.3 Colonisation Résumé : Ces dernières décennies, la renaissance du terrorisme, les soubresauts en Algérie et au Proche-Orient, les récentes manifestations de repentance en France rappellent que le bilan du colonialisme, cet envers sombre de la colonisation, est plus que jamais d'actualité. Autour de Marc Ferro, une équipe d'historiens retrace les pages sanglantes, les excès, les méfaits mais aussi les discours de légitimation de l'entreprise coloniale. Les conquêtes, puis les luttes pour l'indépendance ont indéniablement constitué les épisodes les plus meurtriers de la colonisation : exterminations de peuples entiers dans un cas, guerres destructrices dans l'autre ; mais la colonisation ce fut aussi la traite et l'esclavage, c'est-à -dire la déportation de dix à quatorze millions d'hommes et femmes ; ce fut, une fois l'esclavage aboli, le travail forcé et les terribles conditions sanitaires qui lui étaient associées. Une exploitation économique que le XIXe siècle industriel accéléra et systématisa. Et tout au long de ces épisodes, les nations conquérantes défendirent une idéologie qui, loin de cacher les excès commis, comme on veut bien le croire aujourd'hui, visait à les justifier. Mais on découvre aussi que les violences de la colonisation n'émanent pas seulement de l'Occident et qu'elles ont existé dans le monde arabe puis ottoman ; que sous le vocable d'"expansion territoriale", la Russie puis le Japon n'ont pas organisé autre chose qu'un système d'exploitation ou de négation d'une identité nationale ; et que le racisme qui a accompagné et couvert les excès de l'entreprise coloniale a pu déteindre chez certains peuples colonisés. Enfin, le colonialisme n'a pas seulement laissé des blessures difficiles à cicatriser : il se perpétue au XXIe siècle sous de nouvelles formes que "Le Livre noir" met en évidence. Le livre noir du colonialisme : XVIe-XXIe siècle ; de l'extermination à la repentance [texte imprimé] / Marc Ferro (1924-2021), Directeur de publication . - Paris : Robert Laffont, DL 2003 . - 1 vol. (843 p.) : carte, tabl. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-221-09254-5 : 29 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Esclavage Histoire Décolonisation Histoire Colonies Histoire Impérialisme Histoire Colonies françaises Histoire Index. décimale : 325.3 Colonisation Résumé : Ces dernières décennies, la renaissance du terrorisme, les soubresauts en Algérie et au Proche-Orient, les récentes manifestations de repentance en France rappellent que le bilan du colonialisme, cet envers sombre de la colonisation, est plus que jamais d'actualité. Autour de Marc Ferro, une équipe d'historiens retrace les pages sanglantes, les excès, les méfaits mais aussi les discours de légitimation de l'entreprise coloniale. Les conquêtes, puis les luttes pour l'indépendance ont indéniablement constitué les épisodes les plus meurtriers de la colonisation : exterminations de peuples entiers dans un cas, guerres destructrices dans l'autre ; mais la colonisation ce fut aussi la traite et l'esclavage, c'est-à -dire la déportation de dix à quatorze millions d'hommes et femmes ; ce fut, une fois l'esclavage aboli, le travail forcé et les terribles conditions sanitaires qui lui étaient associées. Une exploitation économique que le XIXe siècle industriel accéléra et systématisa. Et tout au long de ces épisodes, les nations conquérantes défendirent une idéologie qui, loin de cacher les excès commis, comme on veut bien le croire aujourd'hui, visait à les justifier. Mais on découvre aussi que les violences de la colonisation n'émanent pas seulement de l'Occident et qu'elles ont existé dans le monde arabe puis ottoman ; que sous le vocable d'"expansion territoriale", la Russie puis le Japon n'ont pas organisé autre chose qu'un système d'exploitation ou de négation d'une identité nationale ; et que le racisme qui a accompagné et couvert les excès de l'entreprise coloniale a pu déteindre chez certains peuples colonisés. Enfin, le colonialisme n'a pas seulement laissé des blessures difficiles à cicatriser : il se perpétue au XXIe siècle sous de nouvelles formes que "Le Livre noir" met en évidence. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 113236 325.3 SOU Livre Documentation indéterminé Disponible
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Titre : Les sociétés malades du progrès Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc Ferro (1924-2021), Auteur Editeur : Paris : Plon Année de publication : 1998 Importance : 1 vol. (219 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-259-02093-0 Prix : 120 FRF Langues : Français (fre) Mots-clés : Santé Pays développés Changement social Médecine Société Maladies Société Innovations médicales Société Politique de santé Pays développés Politique sanitaire Pays industrialisés Progrès Santé Société Pays industrialisés Index. décimale : 320 Science politique (politique et gouvernement) Résumé : Les hommes de 1900 croyaient au progrès. Leurs fils annonçaient en 1910, la fin prochaine des épidémies, la santé pour tous et des retraites garanties. A la fin de ce siècle, ces certitudes ont disparu : le prix de la santé ne cesse d'augmenter, il n'est pas d'année où quelque drame survienne - Tchernobyl, le sida, la vache folle -, on voit même resurgir des maladies qu'on croyait éradiquées. Ce livre nous montre qu'il existe un rapport entre ces phénomènes et l'état de crise généralisée qui caractérise notre temps. Dans les pays développés, tout se passe comme si le lieu et l'objet des grands conflits sociaux traditionnels s'étaient déplacés. Hier, liés à l'exploitation de l'homme par l'homme, ils s'exprimaient par la grève ou par la révolution. Aujourd'hui, la maladie a pris la relève de la grève, ou l'accompagne, dans une réaction de refus social. Tantôt, elle se manifeste sous forme de résistance passive, tantôt elle témoigne de sa désorganisation. Pour autant, l'obsession de la santé parfaite n'a pas disparu. La maladie est alors un enjeu que se disputent l'ordre médical, les entreprises, l'Etat et l'ordre juridique. Source de profit et de pouvoir, la maladie devient un personnage social qui étend son champ. Expliquer les effets pervers du progrès, ce n'est pas en abandonner l'idée, mais mettre au jour des forces nouvelles que nos démocraties continuent d'ignorer Les sociétés malades du progrès [texte imprimé] / Marc Ferro (1924-2021), Auteur . - Paris : Plon, 1998 . - 1 vol. (219 p.) : couv. ill. en coul. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-259-02093-0 : 120 FRF
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Santé Pays développés Changement social Médecine Société Maladies Société Innovations médicales Société Politique de santé Pays développés Politique sanitaire Pays industrialisés Progrès Santé Société Pays industrialisés Index. décimale : 320 Science politique (politique et gouvernement) Résumé : Les hommes de 1900 croyaient au progrès. Leurs fils annonçaient en 1910, la fin prochaine des épidémies, la santé pour tous et des retraites garanties. A la fin de ce siècle, ces certitudes ont disparu : le prix de la santé ne cesse d'augmenter, il n'est pas d'année où quelque drame survienne - Tchernobyl, le sida, la vache folle -, on voit même resurgir des maladies qu'on croyait éradiquées. Ce livre nous montre qu'il existe un rapport entre ces phénomènes et l'état de crise généralisée qui caractérise notre temps. Dans les pays développés, tout se passe comme si le lieu et l'objet des grands conflits sociaux traditionnels s'étaient déplacés. Hier, liés à l'exploitation de l'homme par l'homme, ils s'exprimaient par la grève ou par la révolution. Aujourd'hui, la maladie a pris la relève de la grève, ou l'accompagne, dans une réaction de refus social. Tantôt, elle se manifeste sous forme de résistance passive, tantôt elle témoigne de sa désorganisation. Pour autant, l'obsession de la santé parfaite n'a pas disparu. La maladie est alors un enjeu que se disputent l'ordre médical, les entreprises, l'Etat et l'ordre juridique. Source de profit et de pouvoir, la maladie devient un personnage social qui étend son champ. Expliquer les effets pervers du progrès, ce n'est pas en abandonner l'idée, mais mettre au jour des forces nouvelles que nos démocraties continuent d'ignorer Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 111781 320 MAR Livre Documentation indéterminé Disponible
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