| Titre : |
Requiem pour une ville perdue |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Aslı Erdoğan (1967-....), Auteur ; Julien Lapeyre de Cabanes (1989-....), Traducteur |
| Editeur : |
Arles : Actes Sud |
| Année de publication : |
DL 2020 |
| Collection : |
Lettres turques |
| Importance : |
1 vol. (134 p.) |
| Présentation : |
couv. ill. en coul. |
| Format : |
22 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-330-13488-4 |
| Prix : |
17 EUR |
| Langues : |
Français (fre) Langues originales : Turc (tur) |
| Index. décimale : |
894.3 |
| Résumé : |
La 4e de couv. indique : "Ce texte est un requiem à la mémoire d'une solitude, celle de l'auteure au coeur de son pays perdu. De l'enfance, où la ?gure de la mère revient sans cesse, à la maturité tourmentée par l'engagement politique, esthétique et féministe, Asli Erdogan dévoile ici le ressouvenir absolu de son existence tendue depuis toujours vers la nécessité d'écrire. Car, dit-elle, "écrire c'était pour que mes mains puissent toucher l'invisible dans tout ce qui se voit". Au centre de cet art poétique se dresse, sublime, la ville d'Istanbul, telle une matrice vertigineuse. Et les ruelles de Galata, quartier tant aimé, arpenté, tel un labyrinthe grand ouvert sur le Bosphore. Ce livre est par essence un monde intérieur, qui précède et accompagne jusque dans l'exil l'une des voix majeures de la littérature contemporaine." |
Requiem pour une ville perdue [texte imprimé] / Aslı Erdoğan (1967-....), Auteur ; Julien Lapeyre de Cabanes (1989-....), Traducteur . - Arles : Actes Sud, DL 2020 . - 1 vol. (134 p.) : couv. ill. en coul. ; 22 cm. - ( Lettres turques) . ISBN : 978-2-330-13488-4 : 17 EUR Langues : Français ( fre) Langues originales : Turc ( tur)
| Index. décimale : |
894.3 |
| Résumé : |
La 4e de couv. indique : "Ce texte est un requiem à la mémoire d'une solitude, celle de l'auteure au coeur de son pays perdu. De l'enfance, où la ?gure de la mère revient sans cesse, à la maturité tourmentée par l'engagement politique, esthétique et féministe, Asli Erdogan dévoile ici le ressouvenir absolu de son existence tendue depuis toujours vers la nécessité d'écrire. Car, dit-elle, "écrire c'était pour que mes mains puissent toucher l'invisible dans tout ce qui se voit". Au centre de cet art poétique se dresse, sublime, la ville d'Istanbul, telle une matrice vertigineuse. Et les ruelles de Galata, quartier tant aimé, arpenté, tel un labyrinthe grand ouvert sur le Bosphore. Ce livre est par essence un monde intérieur, qui précède et accompagne jusque dans l'exil l'une des voix majeures de la littérature contemporaine." |
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