| Titre : |
Un monde à gagner : La lutte des classes au tribunal |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Marie-Laure Dufresne-Castets, Auteur |
| Editeur : |
Paris : Don Quichotte éditions |
| Année de publication : |
DL 2017 |
| Importance : |
1 vol. (282 p.) |
| Format : |
21 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-35949-486-0 |
| Prix : |
18,90 EUR |
| Langues : |
Français (fre) |
| Mots-clés : |
Droit du travail Lutte des classes Tribunaux |
| Index. décimale : |
340.0 |
| Résumé : |
Marie-Laure Dufresne-Castets est avocate en droit du travail, du côté des travailleurs et des syndicats, contre les multinationales et les représentants du patronat. À travers une dizaine de combats emblématiques de sa carrière, elle raconte la violence inouïe mise au service de la gestion de leur « masse salariale » par les dirigeants. Avec humour et obstination, elle bataille aussi contre une novlangue qui contamine l’opinion, y compris celle des juges : le travail ne « coûte » rien, il a un prix ; le dialogue social désigne des décisions prises unilatéralement par les employeurs ; les plans de sauvegarde de l’emploi ne sauvegardent rien, si ce n’est le profit des actionnaires ; les partenaires sociaux sont en réalité les collaborateurs du patronat ; etc. Avec d’autres, elle s’inscrit ainsi dans la tradition des grandes luttes sociales pour plus de justice et de solidarité, qu’il est urgent de remettre au goût du jour |
Un monde à gagner : La lutte des classes au tribunal [texte imprimé] / Marie-Laure Dufresne-Castets, Auteur . - Paris : Don Quichotte éditions, DL 2017 . - 1 vol. (282 p.) ; 21 cm. ISBN : 978-2-35949-486-0 : 18,90 EUR Langues : Français ( fre)
| Mots-clés : |
Droit du travail Lutte des classes Tribunaux |
| Index. décimale : |
340.0 |
| Résumé : |
Marie-Laure Dufresne-Castets est avocate en droit du travail, du côté des travailleurs et des syndicats, contre les multinationales et les représentants du patronat. À travers une dizaine de combats emblématiques de sa carrière, elle raconte la violence inouïe mise au service de la gestion de leur « masse salariale » par les dirigeants. Avec humour et obstination, elle bataille aussi contre une novlangue qui contamine l’opinion, y compris celle des juges : le travail ne « coûte » rien, il a un prix ; le dialogue social désigne des décisions prises unilatéralement par les employeurs ; les plans de sauvegarde de l’emploi ne sauvegardent rien, si ce n’est le profit des actionnaires ; les partenaires sociaux sont en réalité les collaborateurs du patronat ; etc. Avec d’autres, elle s’inscrit ainsi dans la tradition des grandes luttes sociales pour plus de justice et de solidarité, qu’il est urgent de remettre au goût du jour |
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