| Titre : |
La lutte clandestine en France : une histoire de la Résistance, 1940-1944 |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Sébastien Albertelli (1971-....), Auteur ; Julien Blanc (1969-....), Auteur ; Laurent Douzou (1954-....), Auteur |
| Editeur : |
[Paris] : Éditions du Seuil |
| Année de publication : |
DL 2019 |
| Collection : |
La librairie du XXIe siècle |
| Importance : |
1 vol. (429 p.) |
| Présentation : |
ill., jaquette ill. |
| Format : |
23 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-02-140124-0 |
| Prix : |
26 EUR |
| Langues : |
Français (fre) |
| Mots-clés : |
Guerre mondiale (1939-1945) Mouvements de résistance France World War, 1939-1945 Underground movements Biography France World War, 1939-1945 Underground movements Social aspects France France 1940-1945 (Occupation allemande) France History German occupation, 1940-1945 |
| Index. décimale : |
944.0 |
| Résumé : |
Trois historiens, spécialistes de la Résistance, ont décidé de conjuguer leurs expertises, de croiser leurs regards, de se soumettre à une critique réciproque et exigeante. S’appuyant sur une abondante littérature, les auteurs se sont attachés à dérouler un récit qui prend parfois à rebours, comme dans le cas de la mémoire de la Résistance, les thèses communément admises. Chacun des dix-sept chapitres du livre s’ouvre sur un document visuel – photo d’identité, reproduction d’une feuille clandestine, cliché d’une scène publique ou privée – qui illustre une facette de cette histoire, saturée de représentations mais si pauvre en illustrations. Ces documents variés font ainsi office de portes d’entrée vers un monde par nature difficile à saisir, celui de la lutte clandestine. Tout en suivant la trame chronologique de la période, depuis les premières manifestations du refus en 1940 jusqu’aux libérations du territoire à l’été et à l’automne 1944, c’est bien une approche anthropologique du phénomène qui a été privilégiée. Elle conduit à mettre l’accent sur la densité extrême du temps résistant, à scruter ses pratiques et ses sociabilités, à interroger aussi les liens qui se tissent peu à peu avec la société. Elle cherche à comprendre ce que vivre en Résistance pouvait concrètement signifier. Soumis à un danger permanent, sans modèle préalable auquel se référer, l’univers clandestin de la Résistance, enfoui et invisible, n’aura en réalité jamais cessé d’inventer sa propre action. Il a généré des expériences d’une extrême variété tout en exposant l’ensemble de ses protagonistes, où qu’ils aient oeuvré, à des risques identiques et mortels. |
La lutte clandestine en France : une histoire de la Résistance, 1940-1944 [texte imprimé] / Sébastien Albertelli (1971-....), Auteur ; Julien Blanc (1969-....), Auteur ; Laurent Douzou (1954-....), Auteur . - [Paris] : Éditions du Seuil, DL 2019 . - 1 vol. (429 p.) : ill., jaquette ill. ; 23 cm. - ( La librairie du XXIe siècle) . ISBN : 978-2-02-140124-0 : 26 EUR Langues : Français ( fre)
| Mots-clés : |
Guerre mondiale (1939-1945) Mouvements de résistance France World War, 1939-1945 Underground movements Biography France World War, 1939-1945 Underground movements Social aspects France France 1940-1945 (Occupation allemande) France History German occupation, 1940-1945 |
| Index. décimale : |
944.0 |
| Résumé : |
Trois historiens, spécialistes de la Résistance, ont décidé de conjuguer leurs expertises, de croiser leurs regards, de se soumettre à une critique réciproque et exigeante. S’appuyant sur une abondante littérature, les auteurs se sont attachés à dérouler un récit qui prend parfois à rebours, comme dans le cas de la mémoire de la Résistance, les thèses communément admises. Chacun des dix-sept chapitres du livre s’ouvre sur un document visuel – photo d’identité, reproduction d’une feuille clandestine, cliché d’une scène publique ou privée – qui illustre une facette de cette histoire, saturée de représentations mais si pauvre en illustrations. Ces documents variés font ainsi office de portes d’entrée vers un monde par nature difficile à saisir, celui de la lutte clandestine. Tout en suivant la trame chronologique de la période, depuis les premières manifestations du refus en 1940 jusqu’aux libérations du territoire à l’été et à l’automne 1944, c’est bien une approche anthropologique du phénomène qui a été privilégiée. Elle conduit à mettre l’accent sur la densité extrême du temps résistant, à scruter ses pratiques et ses sociabilités, à interroger aussi les liens qui se tissent peu à peu avec la société. Elle cherche à comprendre ce que vivre en Résistance pouvait concrètement signifier. Soumis à un danger permanent, sans modèle préalable auquel se référer, l’univers clandestin de la Résistance, enfoui et invisible, n’aura en réalité jamais cessé d’inventer sa propre action. Il a généré des expériences d’une extrême variété tout en exposant l’ensemble de ses protagonistes, où qu’ils aient oeuvré, à des risques identiques et mortels. |
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